Dans la série, à Saint Sever la municipalité a de gros problèmes avec Saturne et son sablier ; un nouvel épisode de « il faut se distinguer » va se jouer le week-end prochain.

Et oui les gens, Monsieur le Maire et son équipe persistent et signent…

Souvenez-vous de la fête de la musique, programmée un 18 juin alors que sur l’ensemble du territoire, comme cela est le cas depuis sa création en 1982, elle se déroule le 21 juin.

Non, nous n’allons pas vous reparler (cf Cap à Cap: Perdu-Trouvé) du déplacement de la croix de mission de la rue Arnaud de Moles vers le quartier d’Augreilh. Quoique! M.le Maire a annoncé qu’il allait devoir acheter un terrain pour mener à bien son projet. Une façon peut être pas très «catholique» de s’affranchir de la loi de 1905 qui consacre la séparation et fixe le cadre des relations entre l’Eglise et l’État ? Mais il ne faut pas voir le mal partout. M.TAUZIN candidat avait promis un boulodrome couvert, à défaut de tenir sa promesse, M. TAUZIN maire offre à Augreilh un calvaire en lot de consolation ...

Nous n’allons pas non plus vous reparler de l’augmentation de la taxe foncière (+17%) et de la taxe d’habitation (+11%), soit 300 000 € supplémentaires pris chaque année dans notre porte monnaie (cf. Cap à Cap: Les impôts augmentent … sinon rien!). Encore que c’est bien nos poches que M.TAUZIN vide!

«Ville de Saint-Sever cherche son maire...».

Trouvera-t-on bientôt cet avis de recherche sur le site de petites annonces?

Il fut un temps où M.TAUZIN se répandait dans la presse, escaladait les estrades pour dire tout le mal qu’il pensait de son prédécesseur à la mairie et pour déclamer ses promesses électorales. Lui maire, «Saint-Sever libéré», on allait voir ce qu’on allait voir. Avec « (…) une équipe expérimentée et fortement impliquée dans la vie Saint-Severine», il s’engageait à « (…) remettre Saint-Sever à sa juste place», « (…) à stopper l’endettement et l’augmentation des impôts», « (...) nous le ferons sans augmenter ni les taux d’imposition, ni les taxes». C’est lui qui l’a dit et écrit!

Les mois ont passé, nous avons vu ...tout le contraire de ce que l’on nous avait promis.

C’est l’automne, les feuilles mortes se ramassent à la pelle,...les impôts aussi! La taxe foncière, la taxe d’habitation tombent dans nos boîtes aux lettres.

Surtout, retournez la feuille, vous lirez dans la colonne de gauche «commune», à la ligne «variation en pourcentage» quelque chose qui ressemble à ceci: +17,11% pour la taxe foncière, + 11,09 % pour la taxe d’habitation.

Si en 2015, vous avez payé une part communale de la taxe foncière de 374 €, en 2016 vous payez 438 € soit 64 € de plus! Pour la taxe d’habitation, quand la part communale était de 631 € en 2015, elle sera de 701 € en 2016, soit une augmentation de 70 €.

Pour cet exemple réel, qui est celui d’un propriétaire occupant «normal» d’une maison normale, l’augmentation des impôts locaux entre 2015 et 2016 sera donc de 134 €!

M.le Maire, qui a fait voter cette augmentation par la majorité de son conseil municipal, vous dira que cela ne représente que quelques euros par mois. Surtout ne l’écoutez pas, mais faites vos comptes: 134 € d’augmentation par an, c’est 11 € par mois, c’est l’équivalent de 12 baguettes de pain chez nos boulangers, soit près de 3 baguettes en moins chaque semaine.

La canicule estivale n’en finit pas de durer, mais la rentrée a bien eu lieu. Plutôt bien ou presque …sauf à Saint Sever où la municipalité a semblé surprise que nos jeunes têtes blondes regagnent les bancs de l’école le 1^er septembre.

 Nos édiles municipaux nous ont ainsi gratifié d’un COUAC magistral et regrettable.

Le 31 août à 18 heures était bien programmée une réunion d’information sur l’organisation des T.A.P. (temps d’activités périscolaires); sauf que les parents n’étaient pas convoqués.

A la hâte, à 16 heures 11, pour une réunion à 18 heures, une information a été publiée sur la page facebook de la ville, en relais d’une discrète inscription en haut à gauche de l’agenda sur le site saint-sever.fr.

Résultat, seulement une vingtaine de parents présents à la réunion; parmi eux la plupart a la chance d’être dans les «petits papiers» du staff municipal dont on peut imaginer qu’il a dû «chasser» en dernière minute auprès des «amis» pour sauver la face. Pour prés de trois cent élèves concernés, c’est ridicule!

C’est l’été, les vacances, mais l’actualité municipale n’est pas si calme qu’il n’y paraît. Quelques flops retentissants nous le rappellent.

Premier flop, l’école de musique ! Le 30 juin M. le Maire a fait entériner par la docile majorité municipale silencieuse SA décision, de mettre fin à l’adhésion de Saint-Sever au Conservatoire Départemental de Musique (Cap à Cap : La musique qu’on assassine). Aucune concertation, aucune discussion en commission, cette décision ressemble fort à un caprice personnel de M. le Maire, vexé peut être de son cuisant échec aux élections départementales en 2015; échec qui de surcroît l’a écarté du leadership de l’opposition départementale. Désormais tout ce qui émane de près ou de loin du Conseil Départemental deviendrait insupportable à M. le Maire.

Coût du caprice: 100 000 € de pénalités à payer avec nos impôts locaux, des dizaines de jeunes apprentis musiciens privés d’un enseignement de qualité. C’est désormais une association entre amis qui s’en chargera... pour pas cher bien sûr; les pipeaux sont sortis!

Les effets de tribune, les doubles discours, les promesses non tenues, les contradictions sont la spécialité de M. le Maire. Depuis deux ans nous l’apprenons à nos dépens, et malheureusement l’histoire continue.

Ces dernières semaines, M. le Maire et son équipe de «sachants tout défaire» ont tiré une nouvelle salve.

La première gerbe de pétards a été allumée quand à la mi juin, avant même tout débat en commission ou en conseil municipal, M. le Maire a décidé le retrait de la ville de Saint-Sever du conservatoire départemental (école de musique). Et pourtant un an plus tôt, devant le conseil municipal, il affirmait le contraire!

Depuis bientôt 40 ans, le 21 juin, dans tout le pays, villes et villages fêtent la musique.

A Saint-Sever où décidément, on ne fait rien comme les autres, M. le Maire a choisi le mois de juin pour massacrer et assassiner la musique.

Le mauvais coup, il l’a annoncé aux parents le 14 juin dernier.

Sans la moindre concertation du conseil municipal, M.TAUZIN a décidé de mettre fin à l’adhésion de la commune de Saint-Sever au Conservatoire Départemental (école départementale de musique) qui depuis trente ans, avec ses professeurs qualifiés et diplômés, a initié à la culture musicale et formé des centaines de jeunes saint-severins.

Ici ou là, en ce printemps, la tendance est à la «Nuit Debout».

 A Saint-Sever, qui fuit toujours plus la modernité, c’est la «nuit à la belle étoile»! L’étoile du cynisme.

 Le site officiel de la ville «saint sever-toutvabien.fr» l’annonce depuis un petit moment, Saint-Sever est désormais ville étoilée. Une étoile qui accompagne le label «Villes et villages étoilés» décerné par l’Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l’Environnement Nocturnes (ANPCEM).

Une étoile qui d’une certaine manière récompense le maire d’avoir plongé dans la nuit noire la moitié de la ville et ses habitants! Sans aucune forme de concertation préalable, sans demande de qui que ce soit, le fait du prince tout simplement.

«Laloubère arrive à saturation»!!

Ce n’est pas une lubie de Cap à Cap, c’est le très sérieux journal Sud-Ouest du 10 mai 2016 qui le rapporte.

Un aveu de Monsieur le Maire de Saint-Sever lors de l’assemblée générale du SASS Omnisports.

Le même Monsieur le Maire qui en 2013, alors qu’il n’était que candidat aux municipales, a orchestré une odieuse et mensongère campagne de déstabilisation du projet de nouvelle salle porté par la communauté de communes route de Montsoué. Une campagne éhontée qui conduira à l’abandon définitif du projet en décembre 2014 lors d’un vote dans des conditions rocambolesques.

Un projet abandonné sur lequel les partenaires financiers avaient pourtant donné leur accord pour 5 millions d’euros de subvention, soit près de 80% du montant de l’investissement. Une reculade qui fait rire tous les élus de France et de Navarre.

Pour terroriser les électeurs, les moyens et les mots n’étaient jamais trop forts pour M.Tauzin et ses amis: projet inutile, surdimensionné, trop cher, qui allait entraîner une hausse des impôts. L’apocalypse!

Il ne manquait plus que celui là!

Nous allons avoir droit à Saint-Sever à «L'inventaire du patrimoine naturel végétal». Rangez le glyphosate, on compte chiendents, pissenlits et autres espèces rares!!! Mais pourquoi faire??

Depuis deux ans, la nouvelle municipalité nous accommode le patrimoine à toutes les sauces....enfin, la sienne!

Une façon insidieuse de masquer l'absence de projets en donnant l'impression de s'activer, de faire des choses.

Il y a déjà eu bien sûr divers colloques autour de l'histoire ou l'architecture ancienne de la ville, ces entre soi où une poignée d'érudits ou autres sachants échangent leur prétendue culture sur le sujet. Et tant pis pour le citoyen lambda qui n'y comprend rien; cet inculte n'avait qu'à bien travailler à l'école, qu'il aille donc rejoindre la foule de ces excités qui préfèrent assister aux jeux du stade ou des arènes.

Nous avons eu droit aussi à la séquence «Prends en main ton patrimoine». Une équipe de «revenants», portés disparus de la cité depuis vingt cinq ans, soudainement réapparus avec la brossette et le plumeau pour dépoussiérer coursives et étages du cloître des Jacobins. Pas vraiment un succès populaire, personne ne s'en est aperçu, encore heureux que Cap à Cap en parle.

«Un ministre ça ferme sa gueule ou ça démissionne!»

Cette petite phrase nous la devons à M. CHEVENEMENT qui, en désaccord avec les orientations du gouvernement auquel il appartenait, démissionna de son poste de Ministre. Depuis lors, d'autres se sont appliqué ce principe, préférant leur liberté de parole et la libre expression de leurs valeurs à la solidarité nécessaire avec l'exécutif dont ils étaient membres. Derniers exemples en date, les ministres Montebourg, Hamon, TAUBIRA. Le trait commun à toutes ces personnalités c'est d'avoir de vraies convictions et du courage politique.

Cette «jurisprudence CHEVENEMENT», M. le Maire de Saint-Sever est-il capable de se l'appliquer? En a-t-il les qualités? Et pourtant la question se pose.

Voilà deux ans que M.Tauzin et son équipe de candides béats (sauf Mme Duprat, adjointe autoproclamée à la communication de la pensée officielle, toujours plus énervée et déchaînée.... tel un vieux canard déplumé soumis au confinement!) sont en charge des affaires municipales. Deux ans et même un peu plus, qu'ils nous saoulent de discours, audits et rapports, leçons de morale et de gestion. Mais à part ça, qu'ont-ils fait, quelle initiative marquante ont-ils prise ou quel projet novateur nous ont-ils proposé qui puisse améliorer notre quotidien à Saint-Sever ??? RIEN!!

La présentation des comptes administratifs, orientations budgétaires et budgets primitifs a donné à Cap à Cap l'occasion de scruter l'action municipale passée et à venir de cette équipe de «sachant tout bien faire».

Avec l’avènement des jeux virtuels, le jeu des sept erreurs est passé de mode. Mais à Saint-Sever notre Maire et ses «revenants», se complaisant dans la culture du passé, cultivent l'art de l'erreur... de gestion. Un vrai bonheur, pour Cap à Cap de les dénicher. Un jeu franchement pas difficile!

Car en fait d'erreurs, ce sont de grossières et coûteuses fautes de gestion qu'accumulent M. le Maire et sa municipalité depuis deux ans. La brutale hausse des impôts locaux vient ponctuer un véritable gâchis. Quand on a clamé à grand renfort d'audit, discours et courriers que la ville était mal gérée et endettée plus que de raison, ces décisions à front renversé sont méprisables.

 A peine assis sur son fauteuil, se prenant pour un grand, M. le Maire recrutait un collaborateur de cabinet; dont nous affirmerons toujours qu'il est inutile pour une commune de 5000 habitants! Coût de l'opération: 50 000 €/an. Fin 2016, dont le budget vient d'être adopté, 150 000 € auront déjà été dépensés inutilement. S'il perdure jusqu'à la fin du mandat, l'addition montera à 300 000 €. L'équivalent du prix de la restauration de l'école de Péralie!

Et voilà, veille de 1 avril, et ce n'était pas un poisson, Monsieur le Maire décidait d’augmenter les impôts !!!

 Un peu plus de 300 000 € supplémentaires prélevés dans notre poche de contribuables saint-séverins. Excusez du peu!

On savait M. le Maire entrepreneur. Force est de constater que depuis son installation à la mairie en 2014, il fait étalage de son expertise. Sa petite entreprise ne connaît pas la crise!!

Dès son installation, avec ses associés au conseil municipal et le renfort d'une brigade de pétitionnaires excités, priorité a été donnée au développement d'une authentique ENTREPRISE DE DÉCONSTRUCTION.

Abandon de la salle polyvalente route de Montsoué et dans la foulée du projet de transformation de la salle Laloubère, sabotage du projet de médiathèque intercommunale, expulsion de Basket Landes qu'il aimait pourtant beaucoup...

Saint-Sever, ville reconnue pour ses projets et son dynamisme, est devenue en quelques mois ville de tous les renoncements.

Mais la paranoïa destructrice ne s'est pas arrêtée là. Entre lettres comminatoires et vexations ici ou là, les associations n'ont pas été épargnées, invitées à se ranger dans la droite (euh...) ligne.

Ainsi était le refrain d’une chanson de Ricet BARRIER (https://youtu.be/2cfoMFXf_uE), refrain clamé depuis bientôt plus de deux ans par le premier magistrat de la ville. Deux ans car outre le fait d’être l’un de ses principaux arguments de campagne, avec la non construction de la salle polyvalente omnisport, c’est celui qu’il martèle depuis qu il est à la tête de la mairie pour justifier une politique de l’immobilisme et du « rien faire ».

Et la chorale de la majorité municipale est bien en place,,,

Rayonnant sur les estrades électorales en 2014, notre maire s'est trouvé fort dépourvu quand en 2015 il a dû affronter les premiers vents contraires de la réalité de la gestion municipale. Des vents contraires qui l'ont précipité dans des tempêtes électorales mettant à mal son plan de carrière politique.

Battu aux élections départementales de mars dernier, archi-battu aux élections régionales de décembre, viré dans la foulée, par «ses amis», des instances dirigeantes du parti «Les Républicains», l'horizon des législatives 2017 s'est obscurci, comme en a pris un sacré coup sa crédibilité à Saint-Sever intra-muros.

Mais au lieu de reprendre la barre, changer de cap et ramener un peu de raison dans la gestion municipale, monsieur le maire continue de conduire le navire municipal en eaux troubles et de rouler des mécaniques.

«Plus je me mirais, plus je m'admirais!». Cette chute, notre inspiration, nous la devons à Raymond Devos dans son sketch «NARCISSISME».

On ne sait si M.le Maire de Saint-Sever achète des chaussures vernies comme le célèbre humoriste, mais en revanche le souci de se plaire doit le tarauder. Et à défaut de chaussures vernies, il a choisi l'appareil photo et autres boites à images pour se pâmer face à lui même.

Ceux qui croient que M.le Maire ne fait rien se trompent lourdement:M.le Maire se fait photographier et nous inonde de communication!

Décidément il n'y arrivera pas! Deux ans se sont écoulés et M. TAUZIN n'a toujours pas compris qu'il était maire de Saint-Sever, Maire de TOUS les saint-séverins.

Vous avez reçu et peut être lu le magazine d'information municipale. Scandaleux! Un vrai journal de campagne électorale payé par vos impôts (5 000€ environ).

Que M. le Maire dans son éditorial ou son adjoint au nom de la majorité municipale envoient des messages politiques, des «piques» à l'opposition municipale, il n'y a rien d'anormal, c'est la loi du genre.

En revanche utiliser les colonnes du magazine municipal, pour se défausser, et tirer à tout bout de champ sur l'état, le gouvernement, le département, la communauté de communes, ce n'est pas l'endroit !

C'est de surcroît un manque de respect pour les citoyens contribuables de Saint-Sever, dont plus de la moitié aujourd'hui ne partagent pas ses opinions politiques.

Comme bon nombre de concitoyens nous avons reçu cette semaine, le magazine d’information municipale.

Dès l’édito de Monsieur le Maire nous apprenons que le temps que lui et son équipe viennent de passer à la tête de notre citée était essentiellement dédié à la réflexion et que le temps de l’action est venu.

Nous voici rassurés si l’on considère qu’il en avait fallu sept dans le film de Billy WILDER.

Cependant de quelle action parlons-nous ?

Il y a plus d’un an, le blog Channel 40500 Dans un article intitulé « s’il n’y avait que l’héritage » donnait des pistes de ce qu’allait être l’action de la majorité municipale durant les 6 années à venir.

Dans un récent billet (avis de recherche), Cap à Cap s'interrogeait sur la disparition, l'absence des affaires publiques, de madame l'adjointe au maire chargée de la culture.

Bonne nouvelle, nous avons retrouvé sa trace.

Certes elle n'a pas réintégré ses habits d'adjointe, sa discrétion en conseil municipal est toujours patente, mais nos fins limiers dans la cité ont repéré quelques une de ses activités (??...).

De sources sures, ce que nous subodorions s’avérerait exact. C'est bien auprès de l'association culturelle «Les Amis du Cap de Gascogne» qu'elle a établi son camp de base. De là elle organise et gère «Les Vasconiales» tout à loisir. Elle en aurait fait un compte-rendu très élogieux lors de la dernière assemblée générale.

«Monsieur le maire souhaite mettre en œuvre le dispositif de la Bourse d’Épargne au permis de conduire» (conseil municipal du 29 janvier), «une aide pour le permis de conduire en question» (journal S.O du 2 février), dans les prochains jours le bulletinmunicipal sera au diapason!
La machine à communiquer est en route. Après les gamelles électorales de mars et décembre 2015 à Saint-Sever ou la mise à l'écart par son parti Les Républicains des Landes, le masque est tombé, M.le Maire doit redorer son image.

Pas d'inquiétude, cet avis ne sera pas diffusé sur les autoroutes ou à la télévision. L'énigme devrait se résoudre localement à Saint-Sever.

La rumeur se fait insistante en ville, particulièrement dans les milieux associatifs, on recherche Madame l'Adjointe au Maire chargée de la culture. Monsieur le Maire et la majorité du conseil municipal l'ont bien désignée en avril 2014 mais depuis lors, plus rien, envolée.

Si l'on en croit les échos du conseil municipal, outre quelques absences ponctuelles, sa participation aux séances est très discrète.

Les passionnés de sport connaissent le principe. Le week-end devant la télé, ils assistent en direct au match de leurs favoris, dans la semaine qui suit, pour l'analyse, ils regardent «Les Spécialistes». Dans ce magazine, à travers leur loupe, les consultants spécialisés se penchent sur la vidéo des actions essentielles de la rencontre et tempèrent parfois l'enthousiasme du samedi soir.

L'équipe des consultants de Cap à Cap s'est inspirée de la méthode et a penché sa loupe sur la vidéo du discours de M. le Maire, lequel tenait lieu de vœux à la population. Car en fait de vœux, nous avons plutôt assisté à un déballage d’omissions et de contrevérités, lesquelles donnaient à penser à un mauvais discours de campagne électorale.

En ces périodes de fêtes, les programmes télé ont confiné à l'ennui. Heureusement à Saint-Sever vidéastes et blogueurs passionnés nous proposent de véritables scènes de la télé réalité, la vie municipale et communautaire comme si on y était.

Il y a le très officiel site saint-sever.fr, la vitrine de son maire, avec des images au style très stalinien; le chef, toujours le chef, encore le chef, rien que le chef ! Il y aussi Média 40500, moins conformiste, le caillou dans la chaussure, l'empêcheur de tourner en rond !

En consultant ces pages, vous découvrirez «La chevauchée...peu fantastique» de Monsieur le Maire. La diligence tangue, ça se bouscule à l'intérieur. M Tauzin, «maire toujours candidat», sous le choc des deux cinglantes gifles électorales encaissées dans sa ville de Saint-Sever à l'occasion des élections départementales et régionales, a perdu la boussole, les rênes de l'équipage lui échappent!

Vous avez aimé les deux premières pièces de la série «Les revenants» (Les revenants: marche arrière toute, et Les revenants: marche arrière toute! scène 2) produites cet automne par la compagnie théâtrale de l'hôtel de ville de Saint-Sever sous l'autorité de notre maire, metteur en scène pour la circonstance.

Bonne nouvelle, de source bien informée, un prochain épisode à la série Les revenants se prépare.

L'histoire est simple. En guise d'épilogue à cette saga débutée depuis deux ans, M.le Maire, qui n'a bientôt plus rien à démolir et surtout pas davantage d'idées ou de projets, se prépare à rappeler aux affaires l'ancienne municipalité et ses amis!

Cap à Cap s'est procuré le script de cet épisode que M.Tauzin, maire ou éternel candidat, écrit avec application.

Le cinéma a eu «Camping», puis «Camping 2»et prochainement «Camping 3».

A Saint-Sever, pour la rentrée de septembre, sous la baguette de M. le maire dans le rôle du metteur en scène, la compagnie théâtrale de l’Hôtel de Ville, nous avait proposé une pièce en deux actes, Cap à Cap s'en est fait l'écho ( les revenants marche arrière toute)

Disons-le, ce ne fut pas un franc succès au box-office local. Tout juste pathétique!

Mais voilà, notre maire décidément toujours en panne d'idées et d'efficacité politique, nous propose en ce début d'hiver une nouvelle pièce sur le même thème «Les revenants: marche arrière toute! …..scène 2».

Si la première pièce était pathétique, au point d'en sourire, celle-ci confine à l'ordre dramatique et invite à la colère.

Accrochez-vous, car cette intrigue jouée en deux actes est compliquée.

Il y a deux ans, Monsieur Tauzin, alors candidat aux élections municipales, livraient à longueur de campagne ces analyses sans complaisance de la situation du commerce en centre-ville et du développement économique du Cap de Gascogne en général. Avec moult promesses à l'appui, l'homme qui connaît tout et qui sait tout faire nous promettait le grand soir pour les entreprises et surtout le commerce du centre-ville.

Il savait pouvoir compter sur l'expertise et le savoir-faire de sa colistière madame DUPRAT qui l'accompagnait dans les rangs de l'opposition depuis six ans. Pas de doute, les deux connaissaient les dossiers, le bonheur était au coin de la rue.

La liberté d’expression fut l’une des premières conquêtes de la révolution française.

Inscrite dans l’article 11 de la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, elle  indique notre appartenance à un pays démocratique.

Or depuis son élection à la tête de la ville de Saint Sever, Monsieur le Maire semble s’accommoder de ce droit d’étrange façon.

Ainsi, comme nous l’avions noté dans un de nos articles, tous les commentaires, qui n’allaient pas dans le sens souhaité par le maire et son équipe sur la page Facebook de la mairie, étaient purement et simplement supprimés au motif qu’il « n’est pas un média d’opinion ».

«La France n'a pas de pétrole, mais elle a des idées!» La formule a fait fureur à la fin des années 70. En 2015, Saint-Sever n'a toujours pas de pétrole bien sûr, mais de surcroît M. le maire n'a pas d'idées, casse les projets, ne propose rien, ne fait rien.

Alors, pour faire illusion, il fait du théâtre, de la mise en scène. Pour cela, comme la télé pour meubler ses programmes, il fait appel à des revenants, «stars» locales des années 70 tombées dans l'oubli comme leurs vieilles rengaines.

Nous étions nombreux à l'avoir pressenti, mais beaucoup, une majorité, s'était laissé aller à croire les belles paroles, les beaux discours du candidat Tauzin, devenu maire en 2014 au bout de cette campagne démagogique.

«Saint-Sever libéré», clamait-il au milieu des siens au soir de sa victoire. Diantre! Ils avaient donc été tant brimés avant!Un nouveau mode de gouvernance, une ère nouvelle s'ouvrait, les citoyens seraient désormais écoutés, associés aux décisions.

Las! Deux ans après il ne reste que désillusions, le peuple gronde; à juste titre!

Attiré par une publicité tapageuse, les promesses d'une carte renouvelée par un jeune grand chef qui a fréquenté l'école des grands chefs, qui ne compte parmi ses amis que de grands chefs, un client a craqué et franchi la porte du restaurant pour goûter aux délices promis par celui qui remplace l'ancien chef de l'établissement du village.

Mais déception, loin de l'annonce prometteuse, le nouveau chef ne fait que passer les plats préparés par l'ancien chef. Le nouveau chef n'y met sa touche personnelle, que pour un assaisonnement démesuré, un vrai gâte-sauce.

Cette fable, maladroite, image pourtant la gouvernance de notre maire M.Tauzin.

Comme le Monsieur Jourdain du bourgeois gentilhomme, qui faisait de la prose sans le savoir, Monsieur le Maire de Saint Sever vient de s'apercevoir qu'il était écologiste.

En effet après nous avoir expliqué qu'il réduisait l'éclairage public pour des raisons d'économies, lesquelles étaient nécessaires du fait du bilan financier catastrophique laissé par la municipalité précédente. Il a fait mettre à l'ordre du jour du conseil municipal du 29 septembre 2015, une nouvelle idée lumineuse qui lui permet d’asseoir sa décision à grand renfort d'arguments écologiques :

En politique, faute de discours convaincant, il est de bon ton pour donner du relief de faire appel aux grands anciens, on se réfère et cite Rousseau, Clémenceau, Jaurès, De Gaulle......

Englué dans ses promesses de campagne non tenues et ses déboires électoraux en chaîne, notre maire ne résiste pas à la tentation. Voilà M. Tauzin qui s'acoquine avec «les amis de Jean Marie Commenay» pour célébrer le cinquantenaire de l'élection de celui-ci à la mairie de Saint-Sever.

Monsieur Tauzin devenu maire en avril 2014 voit ses électeurs et ses partisans politiques quitter le navire. Ce n'est pas encore le Titanic, mais tout de même.

En mars 2015, juste un an après avoir endossé l'écharpe,M. Tauzin candidat au poste de conseiller départemental subit une triple défaite. Battu sur l'ensemble du canton Chalosse-Tursan par le binôme Lubin-Martinez, il perd également la majorité sur la ville de Saint-Sever et sur la communauté de communes.

Qu'à cela ne tienne, l'ambition étant son moteur, d'aucuns diront qu'elle lui tient lieu de compétence, en juin M.Tauzin postule pour être le numéro 1 de l'UMP, pour les élections régionales de décembre prochain. Encore battu! Le bureau du parti, qu'il préside, lui a infligé un vrai désaveu: 14 voix contre 1; la sienne vous avez deviné …

Désolé, nous ne vous parlerons pas de la déambulation de l'élégante benne de collecte des déchets verts, ou des récents dysfonctionnements du ramassage de vos poubelles.

Nous allons vous entretenir de la violente diatribe de madame DUPRAT, adjointe au maire, «la plume de son maire», qui dans son blog au titre sentant bon les effluves bourgeoises parfumées n'a pas de mots assez forts pour dénoncer l'augmentation de la TEOM (taxe d'enlèvement des ordures ménagères). La présidente du SIETOM, l'ancienne municipalité, les socialistes, tout le monde en prend pour son grade, ces personnes, sont les coupables qui ont décidé cette augmentation; pas «eux». Pardi!

M. Tauzin, qui comme tout le monde le sait, est un Maire empreint d'une certaine idée de la responsabilité, va de nouveau nous jouer l'air de il n'y a pas d'argent de la faute des autres.

En effet selon Média 40500, il exhorte à aller manifester contre la politique gouvernementale qui diminue les dotations en faveur des municipalités.

Après nous avoir fait le coup de c'est pas moi ce sont mes prédécesseurs, qui ont laissé une ville dans une situation financière exsangue, maintenant il va venir nous expliquer que c'est de la faute de l'état.

Après l’instauration d’un couvre-feu lumineux, le début du printemps a vu  le ramassage des déchets verts organisé sur le thème de « il court, il court le furet »…

Deux bennes vertes mobiles sont venues remplacer le trop convenu ramassage des déchets. Ainsi ceux qui n’ont pas pris soin de consulter le site de la ville à la rubrique « tri des déchets », sont quittes de faire voyager leur gazon fraichement coupé en jouant à elle est passée par ici ; elle repassera par là pour finalement le ramener à leur domicile.

             Depuis le mois de mars dernier, même si notre confrère média 40500 pense le contraire, les cartes électorales semblent être rebattues.

En Effet la défaite de Monsieur TAUZIN  semble avoir eu un impact sur le poids qui est le sien au sein de sa propre formation politique.

Alors que l’élection régionale de décembre 2015 se prépare, il y a peu l’U.M.P. landais vient de désigner sa tête de liste.

            Candidat à cette désignation il essuie un nouveau revers quelques semaines après les élections départementales.

Depuis quelques semaines la campagne des départementales bat son plein. Le nouveau Canton dans lequel s’inscrit notre territoire, porte le nom de Chalosse Tursan.

Trois listes composées de deux titulaires et deux remplaçants sont en lice.

Si l’Ancienne municipalité avait fait le choix de garantir une politique d'aide au monde associatif, car elle était consciente que sans un tissu associatif riche la mise en œuvre de manifestation était difficile. Cette volonté municipale de soutenir les associations a permis à St Sever de se surpasser et d’être enviée au plan départemental et bien au-delà grâce aux qualités de ses animations remarquables et variées.

Or depuis le mois de mars dernier il est désolant de constater que la politique menée par la nouvelle municipalité, va à l'encontre du rassemblement de la population par le biais du monde associatif. Cela a commencé par la demande des comptes, puis a été poursuivi pour certaines d'entre elles, d'une réduction voir d'une suppression de la subvention, de la renégociation des conventions d'utilisation des infrastructures municipales mises à disposition, (le cas de Basket Landes en la matière n'est pas isolé).

" Moi,  maire .... les charges de fonctionnement seront maitrisées, fini les dérapages du budget et l'augmentation de la dette."

 C'est en substance ce qu'a ressassé monsieur TAUZIN pendant les six années, où il était conseiller municipal dans l'opposition. Ce fut aussi, souvenez vous, son cheval de bataille pendant la campagne électorale des dernières municipales.

  Si l'on se réfère à WIKIPEDIA, l'humeur est un état d'âme persistant.

Or la seule chose qui persiste, à la lecture du Blog dit odorant en "vérité", c'est l'impréssion d'avoir déjà entendu ses propos lors de la campagne électorale, et il serait bon de dire une bonne fois pour toute, à la personne qui anime cette publication, que celle-ci est finie et qu'on attend d'elle autre chose maintenant qu'elle est élue.

C'est ce qui ressort du commentaire de ce billet, par un élu qui estime ne pas avoir besoin de ses services pour connaître l'importance de son engagement.

En accord avec lui nous avons décidé de publier ce commentaire qui nous semble pleinement inscrit dans "Lexpression citoyenne".

C'est la rentrée et comme pour la grande majorité des scolaires il est temps de reprendre la plume. Même si le temps des vacances a été émaillé par les caprices de Zeus, obligeant un certain à continuer de promener son écharpe, la ville de Saint-Sever a pour sa part, continué de porter haut les couleurs du dynamisme qui fait sa renommée ...

C'est du moins ce que l'on croît, ou qu'on veut bien nous faire croire, si l'on se réfère uniquement aux médias de « l'entre soi » chéries par la nouvelle majorité municipale. (conf. L'article de Cap à Cap du 21 juillet 2014)

Tout comme le Canada-dry, un soda pour lequel la publicité était « Ça ressemble à l’alcool, c’est doré comme l’alcool… mais ce n’est pas de l’alcool », la nouvelle municipalité a ouvert une page facebook dont le but est de permettre aux saint séverins de s’informer sur les animations de la ville tout en apportant leur pierre à l’édifice.

C'était jour de comice sur l'esplanade de Morlanne, beau prémice des fêtes de la Saint-Jean. Il faisait beau et bon flaner parmi les fleurons de l'élevage du Cap de Gascogne. Et Cap à Cap n'aura pas regretté de laisser trainer son oreille à l'heure apéritive.

Sympa!

Jean Marc BAILLET fidèle président organisateur du comice agricole depuis plusieurs années, en ouverture de son discours, aura eu le bon goût de remercier l'ancienne municipalité qui a toujours soutenu le comice agricole trés activement.

Merci à Jean Marc et à toute l'équipe. A bientôt.

 Lors de son discours d’ouverture, le maire de Saint Sever a prétendu que les fêtes étaient placées sous le signe de la jeunesse.

Or qu’ont pu constater toutes les personnes qui se sont rendues aux fêtes durant les 4 jours de cette fin du mois de juin ?

Pour eux pas d’équivoque, les fêtes étaient placées sous le signe « sécuritaire ».

La liberté est l’un des principes fondamentaux inscrit dans la Loi de 1901, texte de référence qui régit le monde associatif.

Ce n’est qu’au nom de celle-ci que les acteurs bénévoles peuvent mettre en œuvre les deux piliers de l’association qui sont : La gestion désintéressée et la mutualisation des compétences.

Lors du dernier conseil municipal , M. le Maire de Saint Sever a confirmé le non-remplacement de tous les agents municipaux partant à la retraite et le non-renouvellement des jeunes saint-séverins embauchés en contrats aidés.

Les premiers effets se font déjà sentir.

Dans le même temps, on nous annonce l’embauche d’un directeur de cabinet, sans expérience ni compétence, mais qui a le bon goût d’être un ami de M le Maire !

Nous avons compris le CREDO de M. le Maire : « OUI aux emplois au service de son ambition politique, NON aux emplois au service de la population de notre ville ! »

Triste réalité, l’argent de nos impôts pour les copains,  et rien pour les saint-séverins!

Sitôt élu le 5 avril dernier, séance tenante et sous un tonnerre d'applaudissements de ses supporters exaltés par la campagne électorale, Monsieur le Maire annonçait solennellement qu'il baissait de 25% ses indemnités de maire et celles de ses adjoints, réalisant ainsi une économie annuelle de 31 000 €, soit 186 000 € sur la mandature pour assurer la moitié de l'autofinancement des travaux sur l'abbatiale engagés par l'ancienne municipalité. Excusez du peu!

Cela devait être un enterrement de première classe du projet de salle omnisport
polyvalente sur le territoire du Cap de Gascogne

Ce fut un camouflet pour le Maire de Saint-Sever !

Les élus communautaires n’ont pas été dupes lors de la dernière réunion du conseil communautaire.
Alors qu’il leur était proposé l’abandon de la compétence relative à la construction d’une salle omnisport, une majorité des élus communautaires a réaffirmé sa volonté de faire vivre ce projet.

Alors qu’en ce printemps le temps n’est pas vraiment de la partie, il est une flamme qui est venue chauffer le cœur de tous les supporters de Basket Landes.

En effet les « filles », comme on les nomme avec un respect empreint d’une certaine tendresse, à l’énergie et au courage sont arrivées à se hisser dans le dernier carré du championnat de France.

Quelques semaines se sont écoulées depuis que la nouvelle municipalité s’est installée aux commandes de la ville. Peu de temps après, les instances de la communauté de communes ont elles-aussi pris leurs marques.

Déjà certaines prises de positions interrogent.

A Saint Sever tout d’abord, très rapidement lors d’un conseil municipal, Monsieur TAUZIN, parle de baisser ses émoluments ainsi que ceux de ses adjoints.

Parallèlement nous avons appris qu’il compte engager un Directeur de cabinet, pour un coût de ???

Ce qui, vous en conviendrez, n’est pas sans nous interroger sur les économies, qui au final vont être réellement réalisées.

Démagogie ? Populisme ? Vérité tronquée ? A quels desseins ?

Tout ce contre quoi nous souhaitons lutter, au travers de nos écrits sur ce blog, en tentant d’apporter notre point de vue et pourquoi pas le vôtre ?

Si vous aussi, souhaitez apporter votre contribution à la vérité.

A l’envie de voir Saint Sever et le Cap de Gascogne demeurer un territoire dans lequel il fait bon vivre.

Un territoire qui se développe tant sur le plan culturel, que sportif, social ou économique. 

N’hésitez pas à nous rejoindre, à diffuser l’existence de ce site, et pourquoi pas, à nous faire parvenir vos réflexions sur l’évolution de notre territoire.

Cap ou pas cap ?